lundi 19 mai 2025
Ce 18 mai 2025, le rideau se lève sur un monde en pleine bascule.
Mais tout est là, sous nos yeux. Il suffit d’oser voir.
À Rome, le pape Léon XIV a célébré sa première messe.
Et plutôt que de rassembler, il a pris parti :
des attaques frontales contre la Russie, et des mots lisses pour Gaza.
Le message est clair : le Vatican entre dans la guerre narrative de l’Occident.
Pendant ce temps, la réalité du monde avance sans lui.
À Istanbul, des pourparlers ont repris entre la Russie et l’Ukraine. Fragiles, mais réels.
Et Zelensky a rencontré JD Vance, vice-président de Trump —
une rencontre longtemps espérée par Macron, qui rêvait de garder la main.
Mais les lignes pourraient rapidement lui échapper, si Trump, Poutine, Xi et Ben Salman choisissent de s’unir concrètement pour bâtir un nouvel équilibre fondé sur l’apaisement et le respect mutuel — en résistant aux doubles langages de Macron, à la folie meurtrière de Netanyahu, et aux mensonges qui alimentent le chaos.
Ainsi, Trump, quant à lui, a achevé sa tournée au Moyen-Orient sans passer par Israël.
Un signal fort.
Il se tourne vers Poutine et Xi Jinping, avec la volonté de désamorcer les conflits, et de réparer une économie américaine étranglée par les tarifs douaniers imposés à la Chine.
Et peu à peu, Trump comme Vance comprennent.
Le danger réel ne vient ni de Moscou, ni de Pékin.
Il vient de Paris et de Tel-Aviv.
De Macron et de Netanyahu.
Le premier agit comme un saboteur planétaire, soufflant sur toutes les braises.
Le second continue un génocide de plus en plus démoniaque à Gaza :
plus de 100 morts chaque jour, des civils enfermés dans une prison sans toit,
innocents, impuissants, sans haine,
mais ciblés jour après jour, comme si leur seule existence était une menace.
Ces hommes, ces femmes, ces enfants…
ne rêvent que de survivre, dans la dignité, à la grâce de Dieu.
Mais pendant que certains cherchent la paix, Macron s’agite encore :
– en sabotant les élections en Roumanie, par la diplomatie, la propagande, et la censure (Telegram)
– en relançant les tensions avec l’Iran
– et en se préparant à accueillir à Versailles les grands patrons du monde, dans un théâtre d’influence déconnecté de toute réalité populaire.
À chaque avancée vers l’apaisement, Macron revient comme un automate du chaos.
À chaque flamme prête à s’éteindre, il souffle pour la raviver.
Mais le temps du mensonge touche à sa fin.
Le dévoilement est en cours.
Nous entrons dans une ère eschatologique.
Les masques tombent. Les noms se révèlent.
Et chacun devra choisir son camp.
Ce ne sera pas un choix politique.
Ce sera un choix moral, spirituel, ontologique.
Entre ceux qui veulent sauver la vie,
et ceux qui, au nom du pouvoir, sacrifient les innocents sans trembler.
Je n’ose même plus évoquer le projet de loi sur l’euthanasie.
Tout cela va trop loin, trop vite, et de manière si brutale qu’on ne peut plus parler de dérive, mais bien d’effondrement.
Une loi est en préparation en France…
Et son contenu est glaçant : même les jeunes pourront demander à mourir.
Et pire encore : personne n’aura le droit de les en dissuader.
Ni médecin. Ni famille. Ni prêtre. Ni ami.
La mort sera un “droit” – solitaire, silencieux, validé par l’administration.
Quelle sera la prochaine étape ?
On le devine : plus de censure. Moins de liberté. Plus de normes “inclusives” et de pensées obligatoires.
Et face à tout cela, une société amorphe, résignée, sidérée.
Je t’avoue que l’apathie des Français me déconcerte autant que la violence du projet.
Mais je garde la foi.
Car même quand tout s’effondre, Dieu veille sur ceux qui refusent de courber l’échine.
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