jeudi 31 juillet 2025

La France vient de qualifier X de bande criminelle Le gouvernement français abuse des lois de la mafia pour intimider X et réduire au silence la dernière place publique mondiale. Il s'agit d'une inquisition numérique : pas de procès, pas de preuves, juste de l'intimidation. Madame la ministre Chappaz : Abandonnez les accusations de gangs. Interdire la surveillance secrète. Défendez la liberté numérique avant que nous ne soyons tous réduits au silence. SIGNEZ LA PÉTITION Avez-vous déjà vu un gouvernement accuser un réseau social d’être une organisation mafieuse ? Vous ne rêvez pas. Le 9 juillet, le gouvernement français a lancé une enquête pénale contre X (anciennement Twitter) en utilisant des lois anti-gang, normalement réservées aux cartels de drogue. Pourquoi ? Parce que X a refusé de livrer son algorithme de recommandations et les données utilisateurs en temps réel. Tout cela part d’une plainte d’un député partisan et maintenant la France tente d’imposer la censure en criminalisant la liberté d’expression. C’est une vengeance politique. Et c’est dangereux. Signez la pétition dès maintenant pour stopper l’« inquisition numérique » française et défendre la liberté en ligne Défendez la liberté d’expression sur X Ce n’est pas une affaire de criminalité. C’est une affaire de contrôle. En qualifiant X de « bande organisée », les procureurs obtiennent des pouvoirs effrayants : Écoutes téléphoniques en direct sur les employés Saisie forcée du code source Surveillance de masse des utilisateurs Pas de tribunal. Pas de procès. Aucune limite. Si la France réussit, d’autres suivront : Belgique, Allemagne, Espagne. Chaque journaliste, lanceur d’alerte ou simple utilisateur actif pourra devenir suspect, simplement pour avoir posté en ligne. Pourquoi agir maintenant ? Les médias en parlent à chaud : Reuters, le FT et l’AP suivent chaque rebondissement, tandis que la censure se resserre chaque jour sur les médias. Les enquêteurs pourraient obtenir les pleins pouvoirs de surveillance d’un jour à l’autre. Et ne fois que cela se produira, il sera presque impossible de faire marche arrière. Souvenez‑vous comment TV Libertés a été muselée après notre dernière pétition ! Mais si nous agissons vite, nous transformerons cette ferveur et le mécontentement croissant face aux fermetures de médias en un élan irrésistible. Nous vivons les dernières heures avant que l’étiquette de « gang » ne soit validée. C’est maintenant qu’il faut l’arrêter. Ce n’est pas de la surveillance. C’est de l’abus de pouvoir. Le gouvernement veut plonger dans le code qui alimente les recommandations de X — et observer tout ce que vous publiez, aimez ou partagez, en temps réel. Ce n’est pas de la souveraineté numérique. C’est de l’autoritarisme. Et cela viole votre droit à la vie privée, votre liberté d’expression ainsi que la présomption d’innocence. Nous appelons la ministre Clara Chappaz à : Abandonner la qualification de « bande organisée » Retirer les demandes d’algorithme et de données en direct Interdire les pouvoirs de surveillance contre les plateformes neutres Protéger la liberté numérique dans toute l’Europe Ajoutez votre nom maintenant, avant qu’il ne soit trop tard. Signez pour arrêter la répression algorithmique. Parce que si nous gagnons… La liberté d’expression survivra Les journalistes seront protégés L’innovation prospérera La France fera marche arrière — et enverra un signal fort au monde Mais si nous perdons, la norme deviendra les écoutes, les saisies de code et le contrôle total des plateformes en ligne. C’est notre ligne rouge. Exprimez-vous avant que s’exprimer ne devienne un crime, et défendez la liberté d’expression sur X. Merci de votre engagement à nos côtés, Anne et toute l’équipe de CitizenGO P.S. La France utilise des lois contre les bandes criminelles pour écraser la dissidence et espionner les utilisateurs. Aidez-nous à stopper cela avant qu’ils ne disposent de tous les pouvoirs de surveillance. Signez maintenant. Pour plus d’informations : LFM.ch – “Une enquête ouverte en France contre X (ex‑Twitter)” https://www.lfm.ch/actualite/international/une-enquete-ouverte-en-france-contre-x-ex-twitter/ La Revue du Digital – “Le réseau social X dénonce une enquête politique à charge menée par la France sur son algorithme” https://www.larevuedudigital.com/le-reseau-social-x-denonce-une-enquete-politique-a-charge-menee-par-la-france-sur-son-algorithme/ RFI – “Accusations d’ingérence étrangère en France : visé par une enquête, X dénonce un « agenda politique »” https://www.rfi.fr/fr/france/20250722-accusations-ing%C3%A9rence-%C3%A9trang%C3%A8re-en-france-vis%C3%A9-enqu%C3%AAte-x-d%C3%A9nonce-agenda-politique France Soir – “Visé par une enquête pénale, X dénonce un usage détourné du droit français à des fins politiques” https://www.francesoir.fr/societe-science-tech/vise-par-une-enquete-en-france-pour-soupcons-de-manipulation-d-algorithme-x Atlantico – Enquête pénale sur l’algorithme de X : David Chavalarias, expert ultra‑biaisé choisi par la justice française https://atlantico.fr/article/decryptage/enquete-penale-sur-lalgorithme-de-x-david-chavalarias-expert-ultra-biaise-choisi-par-la-justice-francaise Financial Times :"La France lance une enquête criminelle contre X pour manipulation d'algorithmes" https://www.ft.com/content/21818d23-71d7-45a4-ae8c-e7940f5d9e00 Pew Research Center : "Liberté d'expression en ligne" (31 % en moyenne se sentent totalement libres de s'exprimer) https://www.pewresearch.org/global/2025/04/24/freedom-of-expression-online/ Code Criminel français, Art. 132-71: Definition of “bande organisée” powers https://www.legifrance.gouv.fr/codes/id/LEGIARTI000006417771/2025-01-01/ Les mondialistes radicaux et les élites « woke » veulent effacer nos valeurs, mais ensemble, nous tenons bon. CitizenGO est un mouvement de millions de personnes à travers le monde, qui se battent chaque jour pour défendre la vie, la famille et la liberté contre ceux qui cherchent à les saper. Nous sommes fidèles, donc nous n’abandonnerons jamais. Souhaitez-vous commencer un don mensuel pour soutenir le travail de CitizenGO dans la défense de nos droits et libertés face à la gauche radicale ?

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