mercredi 30 avril 2025

Vous avez reçu cet e-mail car il a été transféré ? Inscrivez-vous ici pour en découvrir plus Bertrand SCHOLLER - TESTAMENT Ils ont sanctuarisé la mort. Pas la parole. Bertrand SCHOLLER avr. 30 LIRE DANS L'APP Tant que la France ne reconnaîtra pas un véritable équivalent du 1er amendement américain — cette protection inaliénable de la liberté d’expression — notre nation restera exposée aux abus, aux censures invisibles, à l’effacement méthodique de ceux qui osent encore penser autrement. Ce n’est pas simplement un débat juridique. C’est un cri d’alerte moral, spirituel, civilisationnel. Car regardez ce qu’ils font : en 2024, nos députés et sénateurs — y compris ceux qui se disent catholiques — ont inscrit l’IVG dans la Constitution. Pas la liberté de penser, pas celle de s’exprimer. Non. Ils ont sanctuarisé la mort. Pas la parole. Et maintenant, ils avancent — à pas feutrés mais déterminés — vers une légalisation de l’euthanasie. Mais attention : il ne s’agit pas d’un droit d’exception, encadré, tragique et conscient. Il s’agit d’une euthanasie décomplexée, débridée, banalisée. Un projet de société où la mort devient une solution comme une autre. Où la souffrance n’appelle plus à la solidarité, mais au silence. Et pendant ce temps, ils traquent les derniers rebelles. Ils nous stigmatisent, nous épuisent, nous humilient. Ils nous poussent à nous autocensurer. Car dans leur logique, il ne suffit pas d’éteindre les corps — il faut briser les âmes. Il faut que chacun baisse la tête, renonce à sa voix, et accepte sa place dans le grand entonnoir de la pensée unique. Celle qui glorifie le transhumanisme, l’écrasement des repères, la célébration du déracinement. Celle qui tue la vérité à petit feu, au nom du progrès. Aux États-Unis, le 1er amendement n’est pas un simple article de Constitution : c’est une barrière sacrée contre la tyrannie de l’opinion dominante. Il permet — malgré toutes les tensions — que des débats existent, que des vérités sortent, que l’homme reste libre, même s’il dérange. C’est une force immense, enracinée dans l’idée que l’État n’a pas à déterminer ce qu’un citoyen a le droit de penser ou de dire. C’est ce qui maintient encore, là-bas, une forme d’oxygène démocratique, même sous la pression des lobbies, de la censure culturelle ou des grandes plateformes. En France, c’est tout l’inverse. La censure est subtile, larvée, maquillée sous des lois prétendument “protectrices”, et l’autocensure, elle, est devenue une seconde nature. On ne pense plus. On répète. On n’analyse plus. On récite. Et peu à peu, c’est jusqu’à l’âme de la France qui s’éteint. Le pays de Pascal, de Bernanos, de Voltaire ou de Hugo et Louis Ferdinand Céline, devient un entonnoir de pensée unique, l’un des plus tristes et décadents qui soient. Il ne s’agit même plus de défendre des idées, mais d’accepter des rites. Le wokisme, l’idéologie LGBTQ+ érigée en dogme, la glorification du transhumanisme — voilà les nouvelles liturgies d’une religion d’État sans Dieu mais avec ses prêtres, ses excommunications, et ses sacrifices. Même le bon sens y est sacrifié. Et la lâcheté, jadis honteuse, est aujourd’hui valorisée sous forme de “prudence citoyenne” ou de “responsabilité sociale”. Une lâcheté qui ne dit pas son nom mais qui tue, chaque jour, la droiture, la vérité, et la capacité d’aimer vraiment. Et pendant ce temps, la machine avance, broyant tout ce qui résiste. Elle broie les opposants, car nous n’agissons jamais ensemble sur l’essentiel. Chacun pour soi. Chacun son réseau, son ego, sa stratégie. La droiture, l’intégrité, la recherche de la vérité et de l’amour ? Reléguées à l’arrière-plan. Nous sommes devenus comme les Horace et les Curiace, capables de vaincre ensemble, mais divisés par l’orgueil, l’indifférence, ou la peur. Et c’est là le triomphe du diable : il ne nous combat pas frontalement. Il nous divise. Il isole. Et un par un, il nous écrase, par ses pactes pour nos âmes … Nous entrons dans une époque où l’injustice ne passe plus seulement par les tribunaux, mais par les plateformes privées qui, sous couvert de “règles” floues et arbitraires, deviennent à la fois juges, parties, bourreaux — et parfois même fossoyeurs de la justice elle-même. Et même lorsque la justice “officielle” est saisie, que peut-elle faire ? Que peut une institution déjà asphyxiée, paralysée, surchargée et souvent soumise aux pressions de ceux qui tirent les ficelles ? Car ce ne sont plus les principes de droit qui gouvernent, mais la loi du plus fort, du plus riche, ou du plus habile à manipuler le récit. Les juges sont souvent dépassés, les lois contournées, et la police — elle aussi — peut être instrumentalisée au service d’une élite qui dicte ce qu’il faut penser, ce qu’il faut dire, et surtout, ce qu’il ne faut pas déranger. Regardez Gaza. Ce génocide filmé en direct, approuvé tacitement par les “démocraties”, est la synthèse de la fin de l’humanité. Mais les humains ne le savent pas. Ils détournent les yeux, s’indignent par automatisme ou par devoir, puis retournent à leur confort, ignorant que l’horreur qu’ils tolèrent là-bas est le miroir de celle qui s’installe ici. Aparté Il y a des images qu'on voit Il y a des images qui nous transpercent le cœur C'est le cas ici La mort de cette enfant ... est inoubliable Mon cœur saigne Jamais je n'oublierai Et même si je crois en Dieu et que ma foi est infini. JAMAIS je ne pardonnerai, jamais, ni aux coupables ni complices Et certainement pas aux marchands du temple (J’espère qu un jour vous serez plus à comprendre ce qui anime mes actions contre eux …) Mais regardez les images si vous avez le cœur accroché C’est ce que j’ai vu de pire Car la mort prend son temps … La jeune fille comprend. Dans un éclair de conscience déchirante, elle sait qu’elle va mourir. Son propre sang jaillit, son crâne s’ouvre, et sa pensée se mêle à la poussière, dans ce dernier instant où la vie bascule dans l’oubli. Elle ne faisait que chercher une sortie. Une échappée. Une brèche. Une chance. Elle n’était ni combattante, ni menace. Juste une enfant. Et pourtant, elle a été fauchée — par ce qui restera peut-être le régime le plus abject de l’histoire. Non seulement pour ses armes, mais surtout pour avoir empoisonné l’âme du monde, jusqu’à ce que l’humanité elle-même donne son accord au meurtre des innocents. Un droit unique et soi disant céleste … celui de tuer les enfants de l’autre côté des barbelés d’un ghetto sous blocus de tout. Ils font cela fièrement, brutalement, méthodiquement Sans émotion. Sans honte. Sans même un frisson. Vous comprenez maintenant ? Vous voyez ? Vous voyez vraiment ? Ou faites-vous encore semblant ? Ceux qui se taisent sont aujourd’hui pires que ceux qui commettent les actes. Car sans leur silence, leur lâcheté, leur confort, rien de tout cela ne serait possible. Nous sommes responsables. Responsables de la mort de cette jeune fille — qui ne deviendra jamais femme, ni mère, ni grand-mère. Et cela, c’est inacceptable. Impardonnable. Pendant que vous perdez votre temps à bavarder sur des futilités, à suivre les polémiques qu’on vous sert comme des os à ronger, à jouer les stratèges sur des sujets secondaires, vous détournez le regard du véritable drame, du véritable combat. Et vous osez vous dire dissidents ? Non. Vous êtes les pires. Des marchands du Temple, déguisés en éveillés, mais complices, par votre silence et vos priorités, d’un génocide bien réel. Cette jeune fille comprend qu’elle va mourir Et elle a été tuée par le pire régime de l’histoire Car il a empoisonné les âmes de l’humanité au point d’obtenir cette license de tuer les enfants sans réaction … sans honte … sans révolte … Juste l’envie de savoir si Hanouna sera président Ou ce que disaient les lèvres de Macron ou de Trump … Bande de misérables Images très très dures ! Moi-même, j’ai vécu l’arbitraire. Sorti du lit à 6h du matin, placé en garde à vue 35 heures, interrogé pendant 10 heures — non pas par un officier isolé, mais par une hiérarchie entière suspendue aux consignes. Des questions préparées, ciselées, piégées, avec une précision bureaucratique glaçante. On ne cherchait pas la vérité : on cherchait à me faire trébucher. Et pourquoi ? Parce que la plaignante n’était pas n’importe qui : elle est la binôme du Président de la République. La plainte a été enregistrée à l’Élysée. Pas encore depuis la Lanterne ou Brégançon, certes… mais le message était clair : quand c’est le sommet de l’État qui vous vise, ce n’est plus un simple dépôt de plainte, c’est une déclaration de guerre. Croyez-vous que les choses se passent normalement dans ces cas-là ? Toute la hiérarchie est sous tension. Tout le monde veut plaire, éviter de déplaire, faire oublier son nom, ou se faire bien voir. C’est une mascarade. Une mise en scène soigneusement huilée où l’on vous pousse à bout, non pas pour trouver la vérité, mais pour la tordre. Et derrière cela, une entreprise de désillusion massive. On vous fait descendre. On vous humilie. Et il ne reste plus que la crasse des cellules, la boue, les murs gris et la nourriture infecte, prévue non pour nourrir, mais pour affaiblir, même les plus solides. C’est le brouillard de la honte institutionnelle, le royaume de l’oubli, où les résistants sont broyés sans bruit. Et là aussi, pas de soutien. Pas de mobilisation. Comme si les autres ne comprenaient pas que je ne suis pas la cible. La cible, c’est nous tous. C’est la société tout entière. Un corps qui refuse de défendre ses cellules saines est condamné à la nécrose. Car enfin, croyez-vous sincèrement que je suis coupable de harcèlement ? Moi, qui le pèlerin qui chemine d’église en église, qui consacre ma vie à Dieu, à la vérité, à la prière et au service de l’humanité ? Moi, qui écris, qui cherche, qui interroge — sans haine, mais avec droiture ? C’est l’inverse qui est vrai : ce sont ceux que je dérange qui harcèlent, inversent les rôles, et s’appuient sur des lois tordues pour me faire taire. Prenons la loi Schiappa, par exemple. Présentée comme un rempart contre le harcèlement en ligne, elle a été votée au nom de la protection des plus vulnérables, ceux qui subissent des campagnes de haine, de moqueries, ou de menaces sur les réseaux sociaux. Qui aurait pu s’y opposer sans paraître complice de la violence numérique ? Mais dans les faits, cette loi ne protège presque jamais les faibles. Elle est devenue l’arme juridique des puissants : ceux qui ont les moyens d’aller en justice, ceux qui possèdent les relais médiatiques, et surtout ceux qui craignent qu’on expose leurs contradictions, leurs mensonges, ou leur cynisme maquillé en vertu. Derrière cette loi, se cache une logique glaçante : interdire la contradiction. Non pas la diffamation ou l’injure (qui étaient déjà réprimées par d’autres textes), mais la remise en cause, le doute public, l’enquête indépendante. Avec elle, le simple fait de nommer un responsable, de dénoncer une incohérence, de relever une imposture peut être qualifié de “harcèlement”. Le résultat ? La peur. Le silence. L’auto-censure. Et une société où les puissants peuvent se vêtir d’une posture de victime pour détruire ceux qui dénoncent leur emprise. C’est exactement ce que je vis. Une inversion terrible, où celui qui alerte devient “dangereux”, celui qui cherche la lumière devient “harceleur”, et celui qui souffre d’un abus devient, aux yeux de la loi, l’agresseur. Mais c’est bien parce que je ne me suis pas tu que je suis ciblé. Parce que j’ai vu, compris, écrit. Parce que je ne consens pas à leur théâtre d’ombres. Moi, le pèlerin catholique, qui offre sa vie à Dieu et prie pour l’humanité ? Moi, un homme de paix, de recherche, de loyauté ? C’est précisément pour cela que je suis attaqué. Parce que je ne consens pas. Parce que je n’entre pas dans leur mécanique, ne celle des marchands du temple de la fausse dissidence, qui s’infiltrent si efficacement pour noyer ou empoisonner vos esprits. Parce que je cherche, encore, la vérité, la justice, et la miséricorde. Et c’est cela que le système ne supporte plus : l’innocence sans compromission. Les juges, eux-mêmes, sont souvent démunis. Les moyens manquent. Les lois sont floues ou permissives, et l’énorme poids de la machine judiciaire entraîne retards, erreurs, incohérences. Pire : il n’existe quasiment aucun garde-fou contre la subjectivité de ceux à qui le pouvoir de juger a été délégué. Ceux qui “disent le droit” sont, comme nous, des êtres humains : influençables, surchargés, parfois manipulés, parfois compromis. Mais dans un système aussi centralisé que le nôtre, où la séparation des pouvoirs est fragile, leurs erreurs — ou leurs obéissances — peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Et cela, les scandales récents nous l’ont rappelé cruellement. Prenons l’affaire Fillon. En pleine campagne présidentielle de 2017, à quelques semaines du scrutin, un candidat en tête dans les sondages est accusé dans la presse, puis rapidement mis en examen. Des mois plus tard, on apprendra que le Parquet National Financier (PNF), censé être indépendant, avait agi dans une précipitation troublante, avec des interventions politiques en coulisses. Mieux encore — ou pire — la magistrate en charge du dossier a avoué avoir subi des pressions de sa hiérarchie. Conclusion : une élection fut probablement influencée par un usage stratégique de la justice. Et que reste-t-il de ce moment ? Rien, si ce n’est une méfiance accrue envers les institutions… et un sentiment de dépossession chez les citoyens. … [Message tronqué] Afficher l'intégralité du message

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