mercredi 30 avril 2025

J-1 ! Jeudi 1er mai, tous à Narbonne aux côtés de Marine Le Pen et Jordan Bardella ! To: Le 30 avr. 2025, 18:47, à 18:47, Rassemblement National a écrit: >[ Afficher dans le >navigateur]( https://r.courrier-rn.fr/.../WCPxRrNLV1Ltu9k.../3qa7fd6IXY6p) > >[ ** Inscrivez-vous gratuitement ! (Cliquez >ici)**](https://my.weezevent.com/1er-mai-narbonne-marine-le-pen...) > > Chers amis, > > > >** Nous vous donnons rendez-vous le jeudi 1er mai à 14h30 à l'Arena >de Narbonne (11) pour notre grand meeting avec Marine Le Pen et Jordan >Bardella !** > > > >À l’issue du meeting, Jordan Bardella dédicacera son livre *Ce que je >cherche*. Des exemplaires seront également disponibles sur place. > > > > [**Jeudi 1er mai 2025 - >Narbonne **(Arena)](https://my.weezevent.com/1er-mai-narbonne-marine-le-pen...) >**- 14h30** > > > >Inscrivez-vous gratuitement dès maintenant (places limitées) ! > > > >Des camions-restaurants vous accueilleront devant l’Arena tout au long >de la journée pour vous restaurer. > > > >**Important :** face à la forte affluence attendue, nous vous >conseillons d’arriver dès 12h00 afin d’accéder au meeting en toute >sérénité. Il n’est pas nécessaire d’être adhérent pour participer. >**Vous pourrez vous inscrire directement sur place, mais la priorité >sera donnée aux personnes préalablement inscrites**. L’entrée est libre >et gratuite. > > >[ ** Inscrivez-vous gratuitement ! (Cliquez >ici)**](https://my.weezevent.com/1er-mai-narbonne-marine-le-pen...) > >Vous avez reçu cet email car vous nous avez transmis des informations >vous concernant. Vos données sont conservées à l'usage exclusif du >Rassemblement National et ne sont transmises à aucun tiers. Vous pouvez >vous désinscrire à tout moment en cliquant ci-dessous : > >[Unsubscribe](https://r.courrier-rn.fr/.../WCPxRrWByckTgqL.../L6_skYyaBi8F)
> *********************************************** > Pierre : Dis moi, si je couche avec ta femme, on est amis? > Paul : Non! > Pierre ! : On est copains? > Paul : Non! > Pierre : On est ennemis? > Paul : Non! > Pierre : On est quoi alors? > Paul : On est 'quitte'! > > ************************************************ > La scène se passe dans un temple Shaolin. > Le disciple : > - Très sage et très honorable Maître, pourriez-vous m'enseigner quelle est > la différence entre une perle et une femme > Le Maître : > - La différence, humble petit scarabée, c'est que tu peux enfiler une perle des > deux côtés, et une femme, seulement d'un côté. > Le disciple (confus) : > - Mais maître, honte à moi de vouloir contredire votre himalayenne sagesse, > mais j'ai entendu dire que certaines femmes se laissaient enfiler des deux côtés ! > Le Maître (avec un mince sourire): > - Alors, ce n'est pas une femme, c'est une perle.
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Père Joseph: "Sous le soleil de Satan."

CES GÉNÉRAUX ET OFFICIERS FRANÇAIS SE MOBILISENT POUR STOPPER MACRON ! |...

Cancel mRNA? How Many More Warnings Do We Need? w/ Nicolas Hulscher & Ch...

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Vous avez reçu cet e-mail car il a été transféré ? Inscrivez-vous ici pour en découvrir plus Bertrand SCHOLLER - TESTAMENT Ils ont sanctuarisé la mort. Pas la parole. Bertrand SCHOLLER avr. 30 LIRE DANS L'APP Tant que la France ne reconnaîtra pas un véritable équivalent du 1er amendement américain — cette protection inaliénable de la liberté d’expression — notre nation restera exposée aux abus, aux censures invisibles, à l’effacement méthodique de ceux qui osent encore penser autrement. Ce n’est pas simplement un débat juridique. C’est un cri d’alerte moral, spirituel, civilisationnel. Car regardez ce qu’ils font : en 2024, nos députés et sénateurs — y compris ceux qui se disent catholiques — ont inscrit l’IVG dans la Constitution. Pas la liberté de penser, pas celle de s’exprimer. Non. Ils ont sanctuarisé la mort. Pas la parole. Et maintenant, ils avancent — à pas feutrés mais déterminés — vers une légalisation de l’euthanasie. Mais attention : il ne s’agit pas d’un droit d’exception, encadré, tragique et conscient. Il s’agit d’une euthanasie décomplexée, débridée, banalisée. Un projet de société où la mort devient une solution comme une autre. Où la souffrance n’appelle plus à la solidarité, mais au silence. Et pendant ce temps, ils traquent les derniers rebelles. Ils nous stigmatisent, nous épuisent, nous humilient. Ils nous poussent à nous autocensurer. Car dans leur logique, il ne suffit pas d’éteindre les corps — il faut briser les âmes. Il faut que chacun baisse la tête, renonce à sa voix, et accepte sa place dans le grand entonnoir de la pensée unique. Celle qui glorifie le transhumanisme, l’écrasement des repères, la célébration du déracinement. Celle qui tue la vérité à petit feu, au nom du progrès. Aux États-Unis, le 1er amendement n’est pas un simple article de Constitution : c’est une barrière sacrée contre la tyrannie de l’opinion dominante. Il permet — malgré toutes les tensions — que des débats existent, que des vérités sortent, que l’homme reste libre, même s’il dérange. C’est une force immense, enracinée dans l’idée que l’État n’a pas à déterminer ce qu’un citoyen a le droit de penser ou de dire. C’est ce qui maintient encore, là-bas, une forme d’oxygène démocratique, même sous la pression des lobbies, de la censure culturelle ou des grandes plateformes. En France, c’est tout l’inverse. La censure est subtile, larvée, maquillée sous des lois prétendument “protectrices”, et l’autocensure, elle, est devenue une seconde nature. On ne pense plus. On répète. On n’analyse plus. On récite. Et peu à peu, c’est jusqu’à l’âme de la France qui s’éteint. Le pays de Pascal, de Bernanos, de Voltaire ou de Hugo et Louis Ferdinand Céline, devient un entonnoir de pensée unique, l’un des plus tristes et décadents qui soient. Il ne s’agit même plus de défendre des idées, mais d’accepter des rites. Le wokisme, l’idéologie LGBTQ+ érigée en dogme, la glorification du transhumanisme — voilà les nouvelles liturgies d’une religion d’État sans Dieu mais avec ses prêtres, ses excommunications, et ses sacrifices. Même le bon sens y est sacrifié. Et la lâcheté, jadis honteuse, est aujourd’hui valorisée sous forme de “prudence citoyenne” ou de “responsabilité sociale”. Une lâcheté qui ne dit pas son nom mais qui tue, chaque jour, la droiture, la vérité, et la capacité d’aimer vraiment. Et pendant ce temps, la machine avance, broyant tout ce qui résiste. Elle broie les opposants, car nous n’agissons jamais ensemble sur l’essentiel. Chacun pour soi. Chacun son réseau, son ego, sa stratégie. La droiture, l’intégrité, la recherche de la vérité et de l’amour ? Reléguées à l’arrière-plan. Nous sommes devenus comme les Horace et les Curiace, capables de vaincre ensemble, mais divisés par l’orgueil, l’indifférence, ou la peur. Et c’est là le triomphe du diable : il ne nous combat pas frontalement. Il nous divise. Il isole. Et un par un, il nous écrase, par ses pactes pour nos âmes … Nous entrons dans une époque où l’injustice ne passe plus seulement par les tribunaux, mais par les plateformes privées qui, sous couvert de “règles” floues et arbitraires, deviennent à la fois juges, parties, bourreaux — et parfois même fossoyeurs de la justice elle-même. Et même lorsque la justice “officielle” est saisie, que peut-elle faire ? Que peut une institution déjà asphyxiée, paralysée, surchargée et souvent soumise aux pressions de ceux qui tirent les ficelles ? Car ce ne sont plus les principes de droit qui gouvernent, mais la loi du plus fort, du plus riche, ou du plus habile à manipuler le récit. Les juges sont souvent dépassés, les lois contournées, et la police — elle aussi — peut être instrumentalisée au service d’une élite qui dicte ce qu’il faut penser, ce qu’il faut dire, et surtout, ce qu’il ne faut pas déranger. Regardez Gaza. Ce génocide filmé en direct, approuvé tacitement par les “démocraties”, est la synthèse de la fin de l’humanité. Mais les humains ne le savent pas. Ils détournent les yeux, s’indignent par automatisme ou par devoir, puis retournent à leur confort, ignorant que l’horreur qu’ils tolèrent là-bas est le miroir de celle qui s’installe ici. Aparté Il y a des images qu'on voit Il y a des images qui nous transpercent le cœur C'est le cas ici La mort de cette enfant ... est inoubliable Mon cœur saigne Jamais je n'oublierai Et même si je crois en Dieu et que ma foi est infini. JAMAIS je ne pardonnerai, jamais, ni aux coupables ni complices Et certainement pas aux marchands du temple (J’espère qu un jour vous serez plus à comprendre ce qui anime mes actions contre eux …) Mais regardez les images si vous avez le cœur accroché C’est ce que j’ai vu de pire Car la mort prend son temps … La jeune fille comprend. Dans un éclair de conscience déchirante, elle sait qu’elle va mourir. Son propre sang jaillit, son crâne s’ouvre, et sa pensée se mêle à la poussière, dans ce dernier instant où la vie bascule dans l’oubli. Elle ne faisait que chercher une sortie. Une échappée. Une brèche. Une chance. Elle n’était ni combattante, ni menace. Juste une enfant. Et pourtant, elle a été fauchée — par ce qui restera peut-être le régime le plus abject de l’histoire. Non seulement pour ses armes, mais surtout pour avoir empoisonné l’âme du monde, jusqu’à ce que l’humanité elle-même donne son accord au meurtre des innocents. Un droit unique et soi disant céleste … celui de tuer les enfants de l’autre côté des barbelés d’un ghetto sous blocus de tout. Ils font cela fièrement, brutalement, méthodiquement Sans émotion. Sans honte. Sans même un frisson. Vous comprenez maintenant ? Vous voyez ? Vous voyez vraiment ? Ou faites-vous encore semblant ? Ceux qui se taisent sont aujourd’hui pires que ceux qui commettent les actes. Car sans leur silence, leur lâcheté, leur confort, rien de tout cela ne serait possible. Nous sommes responsables. Responsables de la mort de cette jeune fille — qui ne deviendra jamais femme, ni mère, ni grand-mère. Et cela, c’est inacceptable. Impardonnable. Pendant que vous perdez votre temps à bavarder sur des futilités, à suivre les polémiques qu’on vous sert comme des os à ronger, à jouer les stratèges sur des sujets secondaires, vous détournez le regard du véritable drame, du véritable combat. Et vous osez vous dire dissidents ? Non. Vous êtes les pires. Des marchands du Temple, déguisés en éveillés, mais complices, par votre silence et vos priorités, d’un génocide bien réel. Cette jeune fille comprend qu’elle va mourir Et elle a été tuée par le pire régime de l’histoire Car il a empoisonné les âmes de l’humanité au point d’obtenir cette license de tuer les enfants sans réaction … sans honte … sans révolte … Juste l’envie de savoir si Hanouna sera président Ou ce que disaient les lèvres de Macron ou de Trump … Bande de misérables Images très très dures ! Moi-même, j’ai vécu l’arbitraire. Sorti du lit à 6h du matin, placé en garde à vue 35 heures, interrogé pendant 10 heures — non pas par un officier isolé, mais par une hiérarchie entière suspendue aux consignes. Des questions préparées, ciselées, piégées, avec une précision bureaucratique glaçante. On ne cherchait pas la vérité : on cherchait à me faire trébucher. Et pourquoi ? Parce que la plaignante n’était pas n’importe qui : elle est la binôme du Président de la République. La plainte a été enregistrée à l’Élysée. Pas encore depuis la Lanterne ou Brégançon, certes… mais le message était clair : quand c’est le sommet de l’État qui vous vise, ce n’est plus un simple dépôt de plainte, c’est une déclaration de guerre. Croyez-vous que les choses se passent normalement dans ces cas-là ? Toute la hiérarchie est sous tension. Tout le monde veut plaire, éviter de déplaire, faire oublier son nom, ou se faire bien voir. C’est une mascarade. Une mise en scène soigneusement huilée où l’on vous pousse à bout, non pas pour trouver la vérité, mais pour la tordre. Et derrière cela, une entreprise de désillusion massive. On vous fait descendre. On vous humilie. Et il ne reste plus que la crasse des cellules, la boue, les murs gris et la nourriture infecte, prévue non pour nourrir, mais pour affaiblir, même les plus solides. C’est le brouillard de la honte institutionnelle, le royaume de l’oubli, où les résistants sont broyés sans bruit. Et là aussi, pas de soutien. Pas de mobilisation. Comme si les autres ne comprenaient pas que je ne suis pas la cible. La cible, c’est nous tous. C’est la société tout entière. Un corps qui refuse de défendre ses cellules saines est condamné à la nécrose. Car enfin, croyez-vous sincèrement que je suis coupable de harcèlement ? Moi, qui le pèlerin qui chemine d’église en église, qui consacre ma vie à Dieu, à la vérité, à la prière et au service de l’humanité ? Moi, qui écris, qui cherche, qui interroge — sans haine, mais avec droiture ? C’est l’inverse qui est vrai : ce sont ceux que je dérange qui harcèlent, inversent les rôles, et s’appuient sur des lois tordues pour me faire taire. Prenons la loi Schiappa, par exemple. Présentée comme un rempart contre le harcèlement en ligne, elle a été votée au nom de la protection des plus vulnérables, ceux qui subissent des campagnes de haine, de moqueries, ou de menaces sur les réseaux sociaux. Qui aurait pu s’y opposer sans paraître complice de la violence numérique ? Mais dans les faits, cette loi ne protège presque jamais les faibles. Elle est devenue l’arme juridique des puissants : ceux qui ont les moyens d’aller en justice, ceux qui possèdent les relais médiatiques, et surtout ceux qui craignent qu’on expose leurs contradictions, leurs mensonges, ou leur cynisme maquillé en vertu. Derrière cette loi, se cache une logique glaçante : interdire la contradiction. Non pas la diffamation ou l’injure (qui étaient déjà réprimées par d’autres textes), mais la remise en cause, le doute public, l’enquête indépendante. Avec elle, le simple fait de nommer un responsable, de dénoncer une incohérence, de relever une imposture peut être qualifié de “harcèlement”. Le résultat ? La peur. Le silence. L’auto-censure. Et une société où les puissants peuvent se vêtir d’une posture de victime pour détruire ceux qui dénoncent leur emprise. C’est exactement ce que je vis. Une inversion terrible, où celui qui alerte devient “dangereux”, celui qui cherche la lumière devient “harceleur”, et celui qui souffre d’un abus devient, aux yeux de la loi, l’agresseur. Mais c’est bien parce que je ne me suis pas tu que je suis ciblé. Parce que j’ai vu, compris, écrit. Parce que je ne consens pas à leur théâtre d’ombres. Moi, le pèlerin catholique, qui offre sa vie à Dieu et prie pour l’humanité ? Moi, un homme de paix, de recherche, de loyauté ? C’est précisément pour cela que je suis attaqué. Parce que je ne consens pas. Parce que je n’entre pas dans leur mécanique, ne celle des marchands du temple de la fausse dissidence, qui s’infiltrent si efficacement pour noyer ou empoisonner vos esprits. Parce que je cherche, encore, la vérité, la justice, et la miséricorde. Et c’est cela que le système ne supporte plus : l’innocence sans compromission. Les juges, eux-mêmes, sont souvent démunis. Les moyens manquent. Les lois sont floues ou permissives, et l’énorme poids de la machine judiciaire entraîne retards, erreurs, incohérences. Pire : il n’existe quasiment aucun garde-fou contre la subjectivité de ceux à qui le pouvoir de juger a été délégué. Ceux qui “disent le droit” sont, comme nous, des êtres humains : influençables, surchargés, parfois manipulés, parfois compromis. Mais dans un système aussi centralisé que le nôtre, où la séparation des pouvoirs est fragile, leurs erreurs — ou leurs obéissances — peuvent avoir des conséquences dévastatrices. Et cela, les scandales récents nous l’ont rappelé cruellement. Prenons l’affaire Fillon. En pleine campagne présidentielle de 2017, à quelques semaines du scrutin, un candidat en tête dans les sondages est accusé dans la presse, puis rapidement mis en examen. Des mois plus tard, on apprendra que le Parquet National Financier (PNF), censé être indépendant, avait agi dans une précipitation troublante, avec des interventions politiques en coulisses. Mieux encore — ou pire — la magistrate en charge du dossier a avoué avoir subi des pressions de sa hiérarchie. Conclusion : une élection fut probablement influencée par un usage stratégique de la justice. Et que reste-t-il de ce moment ? Rien, si ce n’est une méfiance accrue envers les institutions… et un sentiment de dépossession chez les citoyens. … [Message tronqué] Afficher l'intégralité du message
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J'ai vécu la panne d'électricité hier - voici ce qui va suivre

Le scénario décrit par AV  est impressionnant

De: Antonio Velázquez <petitions-fr@citizengo.org>
Date: 29 avril 2025 à 18:49:59 UTC+3 
Objet: Alexandre, j'ai vécu la panne d'électricité hier - voici ce qui va suivre 


Bonjour Alex 

Je tremble encore en écrivant ces lignes.
Hier, ici même en Espagne, dans ma chère ville de Valence, j’ai vécu ce qui ressemblait à un aperçu du futur qu’ils essaient de nous imposer.

COUPURE DE COURANT !

Magasins fermés. Plus de cartes. Plus de distributeurs. Plus de paiements.

Des gens faisant la queue comme des zombies pour acheter des bougies et des lampes torches.

Et tout ce à quoi je pouvais penser, c’était : et si l’euro numérique avait déjà été en place aujourd’hui ?

Je suis Antonio Velázquez, Directeur des campagnes mondiales chez CitizenGO, et comme vous, profondément attaché à la liberté. Je ne vous écris pas souvent personnellement, mais ce que j’ai vécu hier était si alarmant que je devais absolument vous en parler.

Je suis allé à mon supermarché Mercadona local pour faire les courses pour ma famille.

La panne a eu lieu juste au moment où j’entrais, puis la panique, la confusion, le chaos.

Tout le monde s’est précipité pour payer et partir. Mais c’était impossible.

Les terminaux de paiement ne fonctionnaient plus. Les distributeurs étaient hors service.

Les paiements en espèces ont tenu… mais seulement un temps, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus de monnaie pour rendre la monnaie.

J’ai tendu un billet de 20 euros, dit à la caissière de garder la monnaie, et je suis rentré chez moi en courant.

Parce que quand on a du cash, on a encore quelque chose.

Mais quand tout est numérique, et que le système tombe ?

C’est fini…

Plus de cash.

Aucune alternative.

Plus moyen d’acheter de la nourriture.

Ni d’avoir du carburant.

Aucune issue.

Impuissance totale !

Vous comprenez maintenant, Alexandre ?

Et c’est exactement pour cela qu’ils veulent éliminer l’argent liquide :

Le remplacer par l’euro numérique, une monnaie invisible et programmable qui dépend entièrement de l’électricité, des applications, d’internet… et de l’autorisation de l’UE.

Un seul black-out. Une seule cyberattaque. Un seul “bug”… et vous êtes exclu de votre propre vie.

Et n’oubliez pas :

  • Ils suivront tout ce que vous achetez.
  • Ils décideront où et comment vous pouvez dépenser votre argent.
  • Ils auront le pouvoir de bloquer votre compte sans préavis
  • Et ils appelleront ça de « l’innovation » ou de la « commodité »

Hier, ce n’était « qu’une » coupure de courant. Et regardez le chaos.

J’ai passé 9 heures sans électricité. C’est revenu il y a quelques heures… mais partiellement !
Imaginez maintenant que toute votre vie financière soit liée à un système centralisé aussi fragile.

Plus de cash. Plus de secours. Plus de liberté.

Ce n’est pas de la commodité. C’est une prison !

Ils vous diront que vous êtes libre, alors que vous serez impuissant, invisible, en train d’attendre.

Je l’ai vu de mes propres yeux.

C’est l’avertissement que nous ne recevrons pas deux fois.

Réveillez-vous maintenant, avant qu’il ne soit trop tard.

Signerez-vous la pétition adressée à votre Premier ministre et à vos députés européens pour stopper l’euro numérique avant qu’il ne nous piège tous ?

Partagez ce message avec vos proches, avant que le prochain black-out ne nous laisse tous impuissants.

Merci de combattre à nos côtés,

Antonio Velázquez et toute l’équipe de CitizenGO

Ici, mon mail original



L'Union européenne s'apprête à lancer l'euro numérique, une monnaie centralisée et programmable qui remplacerait l'argent liquide et donnerait à Bruxelles le pouvoir de suivre vos dépenses, de limiter votre accès à l'argent et de geler votre compte si vous ne respectez pas les règles. Il ne s'agit pas d'une innovation, mais d'un outil de contrôle total de votre autonomie financière, déguisé en commodité.

Le système est déjà en cours de construction et votre gouvernement et vos députés européens voteront bientôt pour en faire une loi.

Signez maintenant pour stopper l'euro numérique avant que les élites ne vous privent de votre autonomie financière.

SIGNEZ LA PÉTITION

Bonjour Alexandre,

Honnêtement, je ne sais pas comment vous dire ça…

Rien que d’y penser, j’en ai la nausée, mais je dois vous prévenir. Car ce qui arrive va nous impacter, vous comme moi. Et pas qu’un peu.
Alors s’il vous plaît, écoutez-moi jusqu’au bout.

Imaginez que vous êtes à la caisse d’un magasin.

Vous approchez votre téléphone pour payer…

Paiement refusé.

Vous vérifiez votre solde et il y a bien de l’argent sur votre compte. Alors, que s’est-il passé ?

Il se trouve que quelqu’un à Bruxelles a décidé que vous aviez trop dépensé ce mois-ci… en viande.

Ou peut-être qu’il n’a pas aimé un message que vous avez publié en ligne, ou une conviction personnelle qui ne cadre pas avec leur agenda.

On dirait un cauchemar, n’est-ce pas ?

Cela s’appelle l’« euro numérique », et en surface, cela semble simple comme une application de paiement de plus. Mais ne vous y trompez pas : il ne s’agit pas de vous faciliter la vie.

Il s’agit d’une monnaie contrôlée par le gouvernement, qui donne aux bureaucrates le pouvoir de surveiller, limiter, voire bloquer la façon dont vous dépensez votre propre argent.

Oui : votre argent.

Et le plus effrayant dans tout ça ?

La loi qui autoriserait ce système est déjà au Parlement européen et une décision finale est attendue pour octobre. Dans cinq mois à peine.

Mais soyons réalistes : cinq mois, ce n’est rien. En réalité, nous n’avons qu’un mois pour agir.

Car si nous ne faisons rien maintenant, si nous ne faisons pas entendre nos voix, ils feront passer cette loi en catimini. Et quand les gens s’en rendront compte… il sera trop tard.

Votre vie privée sera terminée.

Votre portefeuille sera sous contrôle de Bruxelles.

Votre argent ne vous appartiendra plus.

Mais tout cela n’est pas inévitable.  Vous avez encore le pouvoir de protéger votre autonomie financière.

En ce moment même, vous et moi avons une mince fenêtre d’action pour bloquer ce projet. Cela va demander des efforts, mais j’ai besoin de savoir que je peux compter sur vous.

C’est pourquoi je vous demande d’agir de toute urgence, dès aujourd’hui !

Signez la pétition adressée à François Bayrou et aux députés européens de France pour rejeter la législation sur l’euro numérique et défendre votre liberté financière avant qu’elle ne soit perdue à jamais !

La Banque centrale européenne est déjà en pleine « phase de préparation ». Elle construit l’infrastructure en ce moment même, et d’ici octobre, tout sera prêt : un euro numérique programmable et entièrement surveillé.

L’euro numérique peut sembler n’être qu’un simple portefeuille sur votre téléphone, mais les risques en coulisses sont bien plus graves qu’ils ne veulent l’admettre.

Une fois lancé, voici ce qu’ils pourront faire :

  • Suivre chaque transaction que vous effectuez

  • Limiter combien vous pouvez posséder

  • Décider où et quand vous avez le droit de dépenser
  • Geler votre compte d’un simple clic

  • Et s’ils n’aiment pas vos convictions, vos valeurs ou vos opinions politiques ? Ils n’auront même pas besoin de vous faire taire, il leur suffira de couper vos finances !

Ce système n’est pas géré par une entreprise privée soumise à la concurrence. Il s’agit d’un système centralisé, entièrement contrôlé par les institutions de l’UE.

Savez-vous où d’autre le gouvernement contrôle une monnaie numérique ? En Chine, où l’accès à votre propre argent peut être restreint en fonction de votre comportement, de vos opinions ou de vos activités sociales.

Et l’UE lorgne déjà sur l’épargne de ses citoyens. Regardez ce qu’ils disent ouvertement :

L’UE cherche à financer un budget de défense colossal de 800 milliards d’euros, non pas via des impôts ou des coupes budgétaires…
… mais en puisant directement dans VOTRE épargne privée.

Oui : VOTRE épargne !

La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, ne le cache même pas :

« Nous transformerons l’épargne privée en investissements indispensables. »

Bruno Le Maire, ministre français de l’Économie, a été encore plus explicite :

« Mobiliser toutes les économies des Européens actuellement dans les banques… Et le faire maintenant. »

Aujourd’hui, ils veulent juste convaincre votre banque de leur donner votre argent pour financer les projets qu’ils jugent importants (peu importe si c’est bon pour votre argent ou non).

Mais j'ai bien peur que demain, si l’euro numérique passe, ils n’auront même plus besoin de demander.

Le système leur donnera un accès direct permettant de prélever automatiquement depuis vos comptes connectés.

Sans loi. Sans décision de justice.

Par infrastructure intégrée.

Pas de paperasse. Pas d’avertissement. Pas d’explication.

Juste quelques lignes de code et votre argent disparaît.

Ce n’est pas ainsi que les serviteurs publics doivent agir. C’est ainsi que les tyrans étendent leur pouvoir.

Et si vous pensez que j’exagère… réfléchissez bien.

Regardez ce qui est arrivé à Enoch Burke, en Irlande, un enseignant chrétien qui a défendu ses convictions.

Il a refusé de malgenrer un élève et de se soumettre à l’idéologie radicale imposée dans son école, alors ils ont vidé son compte bancaire.

Voilà à quoi pourrait ressembler notre avenir.

Mais au lieu d’un procès ou d’une décision judiciaire, un fonctionnaire anonyme derrière un écran clique sur votre nom… et vide vos comptes.

Cela n'a rien à voir avec l'innovation. Il s’agit de contrôle.

Mais voici la clé : ils ne peuvent pas lancer ce système sans l’accord de votre gouvernement et de vos députés européens.

C’est pour ça que je vous écris aujourd’hui.

Parce qu’en ce moment même, nous avons encore une chance réelle de freiner cette folie.

C’est le moment de se mobiliser, de parler fort et de faire pression comme jamais.

De se tenir ensemble et de dire : nous ne laisserons pas des bureaucrates de Bruxelles contrôler notre argen, ni nos vies.

Nous nous battons pour notre avenir. Notre vie privée. Notre liberté.

Et cela commence ici et maintenant avec vous.

Vous pouvez encore stopper l’euro numérique, mais seulement si vous agissez aujourd’hui.

Prenez position contre cette tyrannie !

Signez la pétition à François Bayrou et à vos députés européens : rejetez l’euro numérique et protégez ce qu’il reste de notre liberté.

Si assez d’entre eux disent NON, tout ce plan s’effondre.

Je me suis tenu à vos côtés contre chaque abus de pouvoir des Nations Unies, de l’OMS et de l’UE.

Mais rien, absolument rien, ne m’a fait aussi peur que ceci.

Parce qu’une fois que ce sera en place, ce sera terminé.

Les bureaucrates mondialistes auront les outils pour vous suivre, vous contrôler et vous punir, selon vos actes et vos pensées.

C’est la base d’un contrôle total sur votre vie !

Un système financier entièrement surveillé, programmable et contrôlé par l’État, qui pourrait :

  • Suivre chaque dépense

  • Limiter votre accès à l’argent

  • Décider où et comment vous avez le droit de dépenser

  • Bloquer ou geler vos comptes à tout moment

  • Effacer la confidentialité et la liberté qu’offrait l’argent liquide

Et ils appellent ça… de la « commodité » ? Pour qui ?

Ils prétendent que c’est « comme de l’argent liquide », mais c’est tout l’inverse.

L’argent liquide est anonyme et libre.

L’euro numérique est traçable, programmable et centralisé.

Ils sauront quand vous donnez de l’argent à vos enfants ou aidez un ami à faire ses courses.

Ils auront les outils pour vous contrôler entièrement.

Et le plus fou ? Ils ne s’en cachent même plus.

La présidente de la BCE, Christine Lagarde, affirme que l’euro numérique aidera l’UE à « rester compétitive ». Compétitive avec quoi ? Le système de crédit social chinois ? C’est exactement là que nous allons.

La Chine punit déjà ses citoyens pour leur « mauvais comportement » via sa monnaie numérique.

Maintenant, l’UE veut sa propre version et vite.

Ils travaillent déjà avec les banques et les entreprises tech pour le déployer.

Ils ont proposé des plafonds stricts sur ce que vous pouvez posséder.

Et même s’ils jurent ne pas surveiller vos paiements, l’infrastructure dit tout le contraire.

C’est programmable. C’est traçable. Et une fois lancé… ce sera incontrôlable.

Ils disent :

« Cela ne remplacera pas l’argent liquide. » Mais ils limitent déjà les paiements en espèces.

« Ce n’est pas programmable. »  Mais ils le conçoivent comme tel.

« Cela protège votre vie privée. » Mais chaque transaction sera enregistrée.

C’est l’infrastructure de la tyrannie et elle se construit sous nos yeux.

Signerez-vous la pétition adressée à votre Premier ministre et à vos députés européens pour stopper l’euro numérique avant qu’il ne nous piège tous ?

Merci de combattre à nos côtés,

Sebastian Lukomski et toute l’équipe de CitizenGO

P.-S. C’est comme ça que tout commence, en silence, à huis clos. D’abord, ils suivent vos dépenses. Puis, vos faits et gestes. Et un jour, votre argent ne vous appartient plus : il est surveillé, contrôlé, voire saisi.

Ce n’est pas une menace lointaine ; c’est en cours. La loi est déjà sur la table, et l’infrastructure est en construction. Votre Premier ministre et vos députés européens décideront si cela devient réalité.

Mais il est encore temps de dire NON, si vous agissez vite. Signez la pétition dès maintenant pour dire NON à l’euro numérique et défendre votre liberté financière avant qu’il ne soit trop tard.

Pour plus d’informations :

La BCE vise le mois d'octobre pour achever la phase de préparation de l'euro numérique

https://www.coindesk.com/fr/policy/2025/03/10/ecb-targets-october-launch-for-digital-euro-but-lawmakers-raise-concerns

La Commission européenne dévoile un plan visant à canaliser 10 000 milliards d'euros d'épargne des citoyens vers des investissements stratégiques https://fr.euronews.com/my-europe/2025/04/08/les-citoyens-canaliseront-ils-leur-epargne-pour-stimuler-les-entreprises-de-lue

Le compte bancaire d'Enoch Burke est gelé alors que le tribunal nomme un administrateur judiciaire chargé de recouvrer les amendes impayées

https://www.breakingnews.ie/ireland/enoch-burkes-bank-account-frozen-as-court-appoints-receiver-to-collect-unpaid-fines-1741624.htm

mardi 29 avril 2025

 


 SI PANNE ELECTRIQUE  MAJEURE ET INTERNATIONALE ? ......... ADIEU " CRYPTOS" !!!

: Une « panne à l’échelle nationale » frapperait une grande banque américaine

Par qactusinfos le 29 avril 2025

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Une « panne à l’échelle nationale » frapperait une grande banque américaine

Publié le 29.4.2025 à 19h29 - Par Marc Dufresne - Temps de lecture mn


Selon le Daily Mail, Citibank a connu une « panne à l’échelle nationale ».

Traduction du X :
Citibank est utilisée par 200 millions d’Américains, a noté le média.
Citibank, utilisée par 200 millions d’Américains, a été touchée par une panne à l’échelle nationale, rapporte le Daily Mail - Insider Paper (@TheInsiderPaper)

BREAKING: Citibank, used by 200 million Americans, has been hit by a nationwide outage, Daily Mail reports

— Insider Paper (@TheInsiderPaper) April 29, 2025

Le Daily Mail rapporte :

Le site Web de la banque affiche un message d’erreur : « Nous avons rencontré un problème et nous travaillons à le résoudre ».

Aucun autre détail n’a été fourni, si ce n’est que les clients doivent revenir sur le site Web 10 à 15 minutes plus tard.

« Si vous avez besoin d’aide supplémentaire, veuillez appeler le service à la clientèle au 1-800-950-5114 », indique l’alerte.

Downdetector, un site qui surveille les pannes en ligne, montre des problèmes vers 10 heures HE, les cartes de crédit et les services bancaires mobiles étant cités par les utilisateurs comme ne fonctionnant pas.

Une carte des pannes montre que New York, Chicago, Dallas, Los Angeles et d’autres grandes villes des États-Unis connaissent des problèmes.

Citibank n’a pas reconnu les problèmes sur ses pages de médias sociaux.

 https://static-assets-1.truthsocial.com/tmtg:prime-ts-assets/media_attachments/files/114/420/592/374/978/416/original/c8f1c9e2e3bb8e82.png

lundi 28 avril 2025

 

  1. Il y a 15 heures · Ce que l'on sait de la coupure de courant géante qui touche l'Espagne et le Portugal Une panne d'électricité majeure a débuté à 12h30, selon l'opérateur national espagnol, ce qui a ...

  2. Il y a 15 heures · Que se passe-t-il ? L'Espagne et le Portugal en partie privés d'électricité ce lundi . Peu après midi ce lundi, l'Espagne et le Portugal ont été ou sont encore en grande partie privés d ...

  3. Il y a 15 heures · Vers 12h30, une panne massive d'électricité s'est abattue sur l'ensemble de la péninsule ibérique, touchant aussi bien l'Espagne que le Portugal. Le gestionnaire de réseau espagnol travaille pour que la situation revienne à la normale, mais le rétablissement va prendre du temps.

  4. Il y a 15 heures · En ce moment Le futur de votre région Ma commune Les nécros Via alertez-nous Nos sondages Accueil Actualités Monde Mais que se passe-t-il en Espagne et au Portugal ? Une grande partie des deux ...


 Le militaire et le politique, deux visions différentes de l'intérêt de l’État et de la nation ? Deux généraux en 2ème section (en fait, en retraite), deux frères d'armes, André Coustou et Paul Pellizzari, viennent d'être sanctionnés pour manquement au devoir de réserve et radiés des cadres par mesure disciplinaire. Des médias, presse écrite notamment, relient volontairement et malhonnêtement cette sanction à la tribune dite des généraux publiée en avril 2021. Cela leur évite, en effet, de donner les vraies raisons de cette mesure humiliante qu'il faut rattacher, en réalité, au contexte délicat du conflit entre l'Ukraine et la Russie. Ces deux généraux ont, en fait, déposé plainte en 2024 contre des membres du gouvernement auprès de la Cour de Justice de la République à la suite de la cession à l'Ukraine d'équipements militaires prélevés sur ceux de l'armée française en se référant à l'article 411-3 du code pénal (« le fait de livrer à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents des matériels, constructions, équipements, installations, appareils affectés à la défense nationale est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende »). Cette sanction prise par le pouvoir politique en rappelle d'ailleurs une autre, celle appliquée en 2016 au général Christian Piquemal au moment de la crise de Calais. J'avais, à ce moment-là, publié une tribune pour évoquer ce sujet du devoir de réserve invoqué pour empêcher les généraux en 2ème section de s'exprimer. Aujourd'hui, huit ans plus tard, la même tribune pourrait s'appliquer à la présente situation. C'est la raison pour laquelle j'en reprends des éléments car, au fil du temps et des expériences vécues, une question se pose : finalement, le militaire et le politique n'ont-ils pas une vision différente de l'intérêt de l'Etat et de la nation ? Souvenons-nous, en 2013, le général en 1ère section (en activité) Bertrand Soubelet auditionné par les parlementaires fait état des difficultés rencontrées par la gendarmerie et la justice pour lutter contre la délinquance. Il est alors muté et mis à l'écart. En 2016, le général en 2ème section (en retraite) Christian Piquemal est arrêté au cours d'une manifestation contre la gestion de la crise migratoire à Calais interdite et est mis en gardeà-vue. Il comparaît, trois mois plus tard, devant le tribunal qui le relaxe mais il est sanctionné par le pouvoir politique. En 2017, le général Pierre de Villiers (CEMA) expose son désaccord devant la commission de la défense de l'Assemblée nationale sur la réduction de 850 M € sur le budget 2017 de la défense. Le divorce est consommé avec le président de la République et il démissionne avant d'être démissionné. Ces événements ainsi que d'autres démarches ou interventions de généraux en 2ème section sur des sujets comme la défense du pays et ses forces armées ou l'immigration ont irrité un certain nombre de responsables politiques, toutes tendances confondues. Ces derniers se sont agacés de ces interventions jugées intempestives, voire contraires au devoir de réserve, de généraux habituellement silencieux. Mais, un général doit-il fermer sa gueule comme le déclarait d'un ton condescendant et méprisant un candidat aux primaires de la droite qui aspirait à devenir Président de la République et donc chef des armées ? Par exemple, un général auditionné par les élus de la nation doit-il mentir pour ne froisser personne et finalement se discréditer et manquer à tous ses devoirs ? Par exemple, un militaire en retraite – qui, ne l'oublions pas, est également un citoyen – devait-il être tenu au silence devant un processus engagé depuis la fin de la Guerre froide et consistant à démanteler l'outil militaire pourtant chargé d'assurer la première des missions régaliennes de l’État, c'est à dire la défense de son territoire, la protection de la nation et de ses intérêts ? C'est bien ce qu'un sénateur avait demandé en 2016 au Chef d'état-major des armées : faire taire certains militaires en retraite. Par exemple, un général en 2ème section rompt-il son devoir de réserve parce qu'il dénonce la politique conduite dans la gestion de la crise migratoire notamment à Calais qui a conduit nos dirigeants à accepter la présence illégale de milliers de clandestins sur notre sol, bafouant ainsi notre Constitution (article 5) et l'état de droit qui régit pourtant notre démocratie et constitue l'un des piliers censés garantir l'intégrité du territoire ? En quoi le fait de rappeler les conditions dans lesquelles le général Christian Piquemal avait été arrêté à Calais le 6 février 2016 était-il une présentation polémique des faits et constituait-il une atteinte au devoir de réserve ? C'est ce qui a été reproché à ceux qui se sont exprimés, sommés de se taire car tenus au devoir de réserve. Aujourd'hui, nos deux camarades généraux paient le prix fort pour avoir voulu exprimer avec force et conviction ce qu'ils considèrent contraire aux intérêts de la France dans ce conflit entre l'Ukraine et la Russie. Il est vrai que nos élites politiques, qu'elles détiennent les rênes du pouvoir ou qu'elles aspirent à y accéder, ne sont pas habituées à ce que des militaires, et en particulier des généraux en 2ème section, estiment, lorsque l'intérêt supérieur du pays et de la nation est en cause, avoir le droit et même le devoir de s'exprimer. Il ne s'agit cependant pas de sédition ou de conspiration de leur part. Cela révèle simplement le niveau atteint par l'incompréhension et le décalage qui s'est instauré entre le militaire et le politique en matière de conception de la gouvernance du pays sur le long terme qui doit viser la sécurité à l'extérieur et la concorde à l'intérieur. S'agissant de la sécurité à l'extérieur, chacun sait que depuis très longtemps le budget de nos forces armées a servi de variable d'ajustement et il faut reconnaître que depuis la fin de la Guerre froide la situation n'a fait qu'empirer, la détérioration de nos capacités opérationnelles ayant atteint en 2016 (1,2 % du PIB affecté à la défense) un niveau critique mettant en danger la vie de nos soldats engagés en opérations. Cette détérioration a d'ailleurs mené à une rupture des capacités dont la conséquence pour nos forces armées s'est traduite par un déclassement stratégique extrêmement préjudiciable pour la France et dangereux pour la défense de nos intérêts dans le monde. Le conflit entre l'Ukraine et la Russie avec le désengagement amorcé des Etats-Unis met d'ailleurs en lumière l'état de faiblesse extrême des moyens des Etats européens qui continuent pourtant d'alimenter dans une démarche suicidaire une guerre déjà perdue et qui, de surcroît, n'est pas la nôtre. C'est dans ce contexte détestable et au moment même de la publication au journal officiel (JO) de la sanction qui frappe les généraux Coustou et Pellizzari qu'une résolution citoyenne relative à l'engagement militaire et financier de la France en Ukraine, signée par une trentaine de généraux, était délivrée par huissier aux présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale. Cette résolution citoyenne (https://www.place-armes.fr/r%C3%A9solution-citoyenne) exige la transparence et le respect des principes constitutionnels dans les décisions qui engagent notre pays. Elle rappelle que la souveraineté appartient au peuple et que les parlementaires ont le devoir de l'écouter et de défendre ses aspirations. Chacun comprendra qu'il n'y a rien de séditieux ou de subversif dans cette résolution qui constitue cependant un rappel aux représentants de la nation de leur devoir dans le respect des institutions. Quant à la concorde à l'intérieur, elle dépend essentiellement du niveau de cohérence interne de la société caractérisée par sa culture et donc son identité. Force est de constater que la société française n'est plus aujourd'hui une société apaisée et ne le sera plus avant longtemps en raison de la mutation identitaire qui lui est imposée contre son gré. Car, après des décennies de laxisme, de manque de vision et de clairvoyance, d'absence de courage et de fidélité aux racines de la France, les élites politiques ont fini par oublier que gouverner c'est prévoir. Elles ont ainsi trahi l'âme de la France en favorisant cette immigration de peuplement hostile à notre civilisation et à nos valeurs, immigration vectrice de violence et d'appauvrissement dans de nombreux domaines. En outre, les excès et les dérives d'un communautarisme imposé par un islam conquérant, nullement inquiété par les pouvoirs publics, ne cessent de progresser sur notre sol et conduisent le pays à la catastrophe. C'est précisément pour témoigner de cette combinaison des périls que le général Christian Piquemal s'était déplacé à Calais pour dénoncer la passivité incompréhensible des responsables politiques. Il y a donc, incontestablement, un fossé qui s'est creusé et qui sépare l'approche des problèmes du monde, et par voie de conséquence de la France, entre le militaire et le politique dont les logiques et les horizons sont par nature différents. Le premier voit loin et la permanence de la défense du pays et de ses intérêts, la sécurité et la protection de la nation restent un tourment constant qui dépasse le temps présent et s'inscrit dans le temps long. Le second détient le pouvoir après avoir gagné des élections qui consacrent généralement des ambitions personnelles mais l'exerce le plus souvent soumis au cours des événements qu'il ne maîtrise pas toujours et qui le maintient dans une vision qui ne dépasse pas le court terme, voire le moyen terme dans le meilleur des cas, mais qui s'inscrit donc dans le temps court. Alors, il faut être conscient qu'au-delà de cette différence d'approche, les forces armées exercent par nature un sacerdoce au profit, avant tout, du peuple, de la nation qu'elles sont chargées de protéger et de défendre. C'est dans cette perspective et avec le souci de protéger et de défendre les intérêts du pays et de la nation que nos deux camarades généraux ont agi, ce qui leur vaut d'être sanctionnés aujourd'hui alors qu'ils ont servi la France pendant des décennies avec le sens du devoir et de l'honneur. Il est vrai que comme le disait Chamfort : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». Un général en 2ème section, certes soumis au devoir de réserve, continue de servir son pays et incarne ce sacerdoce au service de la nation quels qu'en soient ses représentants d'ailleurs et, tel une sentinelle, il sonne l'alarme quand il estime que la situation l'exige car c'est un lanceur d'alerte. Son expérience, sa culture militaire et son engagement désintéressé lui confèrent une certaine légitimité pour exprimer son appréciation lorsque la sécurité et l'avenir de la nation sont mis en danger. C'est même son devoir de citoyen éclairé tant qu'il ne dévoile pas de secrets militaires. Car il faut dénoncer ici l'hypocrisie et la malhonnêteté des médias et de certains au sein des élites politiques qui, pour justifier les sanctions décidées par le pouvoir politique, avancent de façon perfide le principe du devoir de réserve qui s'impose à un général en 2ème section car il peut être rappelé par le gouvernement. La vérité c'est qu'à partir de son 67ème anniversaire un général en 2ème section ne peut plus statutairement être rappelé et devient, dès lors, pleinement un retraité. Cela étant dit, comment ces élites politiques et ces médias expliquent-ils que des magistrats, en activité, eux, et soumis également au devoir de réserve, puissent prendre publiquement des positions expressément politiques sans être sanctionnés ? Comment expliquent-ils que sur le conflit Ukraine-Russie les généraux de plateaux TV puissent s'exprimer librement et que ceux qui n'épousent pas le narratif officiel, non seulement n'y sont pas invités mais sont sanctionnés ? Alors, ce devoir d'expression est-il réellement une atteinte au devoir de réserve ? Certainement pas, car la vraie question qui se pose est celle-ci : pourquoi ce devoir d'expression revendiqué par des généraux respectueux d'une éthique qui les pousse à intervenir peu dans le débat public se manifeste-t-il ? La réponse est claire : un général doit, c'est un devoir, briser le silence lorsque tout ce pour quoi il s'est battu toute sa vie est remis en question et que la nation est mise en danger. Et sur le plan moral comme sur le plan juridique, est-ce porter atteinte au devoir de réserve que de s'exprimer pour dénoncer le fait que la Constitution est instrumentalisée ou que la loi n'est pas respectée ou n'est pas appliquée ? C'est précisément ce que traduit notamment la résolution citoyenne adressée aux présidents du Sénat et de l'Assemblée nationale. C'est tout le sens que prend cette supposée transgression du devoir de réserve avec l'expression de certains généraux habitués, eux, au respect du règlement et de la loi et qui tirent la sonnette d'alarme car ils sont au service permanent de la nation. C'est la raison pour laquelle ils ne peuvent pas fermer leur gueule. C'est tout le sens de la démarche entreprise par nos deux camarades André Coustou et Paul Pellizzari. Le 27 avril 2025 Antoine MARTINEZ (général 2s)

samedi 26 avril 2025

 "Soldier,

You will live like a dog... You will risk your life, you will toil in the mountain range and the rice paddies.

You will be made to lose battles. You will be forced to lose. Your honor will be tarnished. And you alone will be accused of the defeat.

You will be dragged through the mud. You will be abandoned, forgotten, disowned. You will be spat upon, your work will be tarnished.

People will have fun while you suffer, far from your loved ones, your ungrateful loved ones.

One day, those who supported you, who glorified you, will also abandon you. For they found something they disliked in you: your justice, your righteousness, your discipline, your hierarchy, and even your courage.

That day will be very bad. It will be disintegration; but you will be great, even if you die.

And You don't give a damn about all that; you don't give a damn about the lies and the perfidy, the betrayals.

Because you're higher up. You're not of the same race. You're Lord of War.

On the peak overlooking the valley, you don't think about other men. They're so small down there, so ugly...

And if you lose a battle, you'll still be a winner because you fought. You tried, you attempted.

And what is victory or defeat, if not the fact of having fought?

And that's the important thing.

And if we lose what you've won, what does it matter? You tried.

It's a shame that your country, once so great, wallows in shame and abandonment.

Too bad for you. What does it matter, if you're great; Is it your fault if others didn't understand, if you did?

What does betrayal matter, what does deceit matter, what does a woman's love matter, what does admiration matter. It's so fleeting.

You carry your love within you, you know, and you don't need others. It's no business of other men, it's a matter of God and you.

You are a soldier, you are pure: and God understands you.

And if your friend falls, what does it matter: it's the greatest victory, and you will have yours one day... and if you understand that, the rest is easy.

And you will be Lord"

Lieutenant Colonel Jeanpierre (callsign "Soleil")
Died for France on May 29, 1958, in Algeria

To us, memory, to him, immortality!
Duty of remembrance
https://lnkd.in/eJQSSNVr

 

USA : Des « fougères numériques » trouvées dans des échantillons de chemtrails ? Health Ranger dévoile des structures microscopiques de « circuits imprimés »

Par qactusinfos le 27 avril 2025

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Des « fougères numériques » trouvées dans des échantillons de chemtrails ? Health Ranger dévoile des structures microscopiques de « circuits imprimés »

Publié le 26.4.2025 à 23h41 - Par Clara Lefevre - Temps de lecture mn


  • Mike Adams a trouvé des structures microscopiques, semblables à des fougères, avec des motifs semblables à ceux d’un circuit imprimé dans des échantillons de retombées de chemtrails, multipliés par 1 500, soulevant des questions sur les contaminants en suspension dans l’air et les risques pour la santé.
  • Les structures sont apparues après qu’Adams ait réhydraté un échantillon séché, révélant un organisme entièrement nouveau aux côtés de formes de vie précédemment non identifiées dans le même spécimen.
  • Au moins quatre formes de vie distinctes ont été détectées dans l’échantillon, y compris des structures ressemblant à des œufs qui semblent se diviser ou éclore, approfondissant le mystère.
  • Biologique ou artificiel ? L’origine de ces structures n’est pas claire – il pourrait s’agir de microbes inconnus ou de particules synthétiques, ce qui suscite des spéculations sur l’ingénierie ou la surveillance environnementale.
  • Adams prévoit une analyse plus approfondie, dont les résultats alimenteront les débats sur les chemtrails, la géo-ingénierie et les programmes atmosphériques non divulgués. La découverte reste inexpliquée mais potentiellement révolutionnaire.

Article de Finn Heartley, republié avec la permission de Naturalnews.com

Dans une révélation surprenante, Mike Adams, le Health Ranger et fondateur de Brighteon.com, a dévoilé des structures microscopiques récemment découvertes dans des échantillons de retombées de chemtrails, les surnommant « fougères numériques » en raison de leur ressemblance troublante avec des organismes ressemblant à des fougères intégrés avec des motifs complexes, semblables à des circuits imprimés. Les résultats, amplifiés 1 500 fois, ont été partagés lors d’une récente émission, soulevant des questions urgentes sur la nature des contaminants en suspension dans l’air et leurs implications potentielles pour la santé publique.

Une découverte accidentelle mène à une révélation époustouflante

Adams a d’abord collecté les échantillons dans le cadre d’une enquête en cours sur les retombées de chemtrails, en collaboration avec le Dr Jane Ruby. L’échantillon avait déjà révélé trois formes de vie non identifiées avant qu’Adams ne le laisse accidentellement se dessécher. Après avoir réhydraté et réincubé le spécimen, il l’a examiné au microscope, pour découvrir un organisme entièrement nouveau.

« Je l’ai passé au microscope, sans m’attendre à rien, et ce que j’ai trouvé est une toute nouvelle forme de vie que j’appelle des fougères numériques », a expliqué Adams. "Vous êtes sur le point de voir quelque chose d’époustouflant. Il est zoomé à un grossissement d’environ 1 500 fois, et je le décris visuellement comme des fougères avec des circuits imprimés.

Les structures, bien qu’elles ne soient pas de véritables fougères, présentent des formations ramifiées, ressemblant à des feuilles, avec des motifs géométriques, presque technologiques. Adams a souligné que la découverte n’avait pas été modifiée numériquement, déclarant : « Ce n’est pas photoshoppé. Ils sont l’un à côté de l’autre, et ce sont les bonnes tailles.

Un mystère grandissant : plusieurs organismes non identifiés détectés

Cette dernière découverte marque au moins la quatrième forme de vie distincte identifiée dans le même échantillon de chemtrails. Adams a exprimé son étonnement face à l’émergence rapide de nouvelles structures, s’interrogeant sur leur origine et leur but.

« C’est bizarre pour moi qu’à chaque fois que j’allume le microscope et que je regarde cet échantillon incubé, il y a une nouvelle forme de vie », a-t-il déclaré. "Je pensais que nous en aurions zéro, et maintenant nous en avons, quoi, quatre ? En fait, nous en avons vu plus aujourd’hui, comme cinq ou six que nous avons repérés jusqu’à présent.

Les « fougères digitales » apparaissent à côté de structures en forme d’œuf précédemment observées, dont certaines semblent se diviser ou éclore. Une image, agrandie à 1 800x, révèle des éléments cristallins ou nanostructurés, approfondissant encore le mystère.

S’agit-il de contaminants biologiques ou artificiels ?

La découverte soulève des questions cruciales : ces organismes sont-ils naturels ou pourraient-ils être des particules synthétiques modifiées dispersées par pulvérisation atmosphérique ? Adams n’est pas allé jusqu’à faire des affirmations définitives, mais a promis une analyse plus approfondie.

« Je ne prétends pas que c’est ce que c’est », a-t-il précisé à propos de la comparaison avec les circuits imprimés. « Celles-ci sont microscopiques, beaucoup plus petites que les fougères, mais elles ressemblent à des fougères. »

Les implications sont profondes. Si ces structures sont biologiques, elles pourraient représenter des microbes inconnus en suspension dans l’air avec des effets inconnus sur les écosystèmes et la santé humaine. S’ils sont synthétiques, ils pourraient suggérer une forme d’ingénierie environnementale ou de technologie de surveillance – une théorie longtemps spéculée dans les cercles de recherche indépendants.

Que se passe-t-il ensuite ?

Adams s’est engagé à poursuivre son enquête, avec plus d’images de microscopie et d’analyses de laboratoire à venir. Pendant ce temps, les résultats alimentent les débats en cours sur les chemtrails, la géo-ingénierie et les programmes atmosphériques non divulgués.

Pour l’instant, les « fougères numériques » restent une énigme, qui pourrait remodeler notre compréhension de ce qui flotte dans le ciel au-dessus de nous.

« C’est absolument époustouflant », a conclu Adams. « Restez à l’écoute. »

Regardez l’épisode du 23 avril de « Brighteon Broadcast News » où Mike Adams, le Health Ranger, parle des étranges « fougères numériques » trouvées dans des échantillons de chemtrails.

Cette vidéo provient de la chaîne Health Ranger Report sur Brighteon.com.

Plus d’histoires connexes :

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Les sources comprennent :

Brighteon.com